Maintenant un an que nous faisons face à l’épidémie du coronavirus, une épidémie qui a fait de nombreux décès. Depuis ces jours, mesures barrières ont été instaurées : Port de cache-nez, couvre-feu et même le confinement dans certains pays qui continue toujours. C'est une année compliquée pour les jeunes, notamment avec les dernières restrictions sanitaires mises en place pour stopper l'épidémie de Covid-19.
Plus de cours à l’université, plus de petits boulots, ni de soirées entre amis. Pour la jeunesse, la quasi-totalité des activités d'avant confinement manquent et près d’un jeune sur deux est affecté mentalement par tout ce qui se passe.
La jeunesse a subi de plein fouet la situation. Ils sont nombreux à reconnaître une baisse du pouvoir d'achat depuis le début de la crise sanitaire, nombreux à avoir vu un stage ou une formation annulée, nombreux à avoir vécu une rupture amoureuse ou une détérioration de leur vie de couple et surtout nombreux à avoir eu à souffrir d'une perte d'emploi ou d'avoir eu des difficultés à exercer leur travail.
Aujourd’hui, la majorité de la population, notamment la jeunesse en a ras le bol de toutes ces restrictions et se demandent à quand la fin du coronavirus. Dans certaines villes, plusieurs jeunes ont eu à se suicider parce que trop oppressés par ces restrictions ; La population veut être libre.
LA CRAINTE DU FUTUR
Ces confinements et cette pandémie inquiètent fortement les étudiants qui sont 70% à avoir peur de rencontrer des difficultés pour mener à bien leurs études. Pour les jeunes actifs, 47% redoutent d'avoir des difficultés pour conserver leur emploi ou leur stage, ou à en trouver un.
De ce fait, il est parfaitement constatable que de toutes les générations, c'est la jeunesse qui sera à l'avenir la plus pénalisée par les conséquences de la crise sanitaire et même qu’elle est déjà pénalisée à l’heure actuelle.
LE GOUVERNEMENT POUR LES JEUNES
Certains gouvernements se mobilisent pour éradiquer cette épidémie via les vaccins afin de pouvoir revenir à la normale mais l’on constate encore la présente de variants qui pourrait nous ramener à revivre les premiers confinements. Ainsi l’on pourrait s’attendre à des répercussions bien plus violentes pour les jeunes.